Les risques relatifs à une intrusion inopinée du système informatique constituent bien évidemment le risque majeur. C’est l’hypothèse d’une cyberattaque.
Une cyberattaque est définie sur le site du Gouvernement, comme une « une atteinte à des systèmes informatiques réalisée dans un but malveillant. Elle cible différents dispositifs informatiques : des ordinateurs ou des serveurs, isolés ou en réseaux, reliés ou non à Internet, des équipements périphériques tels que les imprimantes, ou encore des appareils communicants comme les téléphones mobiles, les smartphones ou les tablettes. Il existe 4 types de risques cyber aux conséquences diverses, affectant directement ou indirectement les particuliers, les administrations et les entreprises : la cybercriminalité, l’atteinte à l’image, l’espionnage, le sabotage ».
L’évolution des techniques informatiques et l’apparition des nouvelles technologies ont rendu les cyberattaques de plus en plus complexes et permettent de nouvelles actions aux attaquants.
Il existe divers types de cyberattaque, tels que des attaques ciblant le « DNS » (c’est-à-dire le DOMAIN NAME SYSTEM) ou encore des attaques visant directement les utilisateurs et ayant pour objectif d’obtenir des informations confidentielles pour usurper une identité (phishing)…